Le 2 juillet, Daniel Gay signait une lettre d’opinion dans Le Droit affirmant ne pas vouloir « financer des autobus vides». Cette position peut sembler logique, surtout lorsqu’on n’utilise pas le transport collectif. En réalité, elle repose sur des perceptions erronées et occulte l’utilité sociale, environnementale et économique de ce service public essentiel. Lisez l’article complet ici : Le transport collectif, un service public essentiel pour l’Outaouais